● Adapter de manière partagée les objectifs, collectifs et individuels, de courts et moyens termes, à la réalité quotidienne de la vie professionnelle à distance. Idem pour l'organisation du travail et les process internes.

● Redoubler de rigueur et de clarté sur la formulation des priorités, des modes de reporting attendus (les contacts impromptus dans les couloirs ou à la machine à café, propices aux échanges et aux retours d'information, n'existent plus ou sont plus rares !).

● Écrire et porter à la connaissance de tous les plans de charge collectifs (et individuels si cela est judicieux).
En effet, certains agents, ou même l'ensemble de l'équipe, peuvent en avoir besoin pour s'y référer régulièrement et organiser leur travail. Cela peut éviter, par ailleurs, le sentiment de certains collaborateurs que la charge de travail est déséquilibrée et à leur désavantage (trop ou pas assez).

Les objectifs, méthodes, priorités, plans de charge arrêtés peuvent, par exemple, être mis à la disposition de tous, via un outil collaboratif virtuel, qui présente l'intérêt d'être ajusté et actualisé en temps réel.

● Jouer de la plus-value du travail en équipe .
Par exemple, en faisant travailler ensemble les agents les plus inquiets ou anxieux avec des agents qui le sont moins, ou qui sont plus rassurants. En faisant travailler ceux qui sont mal à l'aise avec les outils numériques avec ceux qui sont plus agiles

● Valoriser les réussites collectives et individuelles.
Par exemple, en mettant en avant les bons résultats, mais aussi les méthodes et outils de travail qui fonctionnent bien.

● Valoriser et consolider (par la formation, le compagnonnage...) les nouvelles compétences qui ont pu émerger.